ALAIN PAGE

A 10 ans, une rencontre avec Paul Emile Victor lui a donné l’envie de peindre; il s’inspire des photos de l’explorateur pour peindre des paysages dans le brouillard.

Ses premières expériences se font à la gouache, puis à la peinture à l’huile et enfin, à l’aquarelle. Cette dernière technique est pour lui la plus difficile à maîtriser : l’aquarelle est pleine d’imprévus ; il observe les couleurs qui fusent les unes dans les autres au milieu de la flaque d’eau et tout se précise à mesure que le papier sèche. Son travail est bâti par petites touches.

Il préfère les sujets de paysages et d’architecture, les perspectives. Il glane ses sujets au cours de voyages, au détour d’une rue, d’un marché, au gré de rencontres parfois inattendues. A partir de ses photos, il recrée l’atmosphère de ses voyages.